Gilles Clément

Il a aménagé à Paris : Parc André Citroën avec Provost

Gilles CLEMENT concepteur du jardin en mouvement ci-dessous photo parc citroën 

 


Il a aménagé en région parisienne : Jardins de l'Arche à la Défense


Il a aménagé en France : parc Matisse à Lille , le parc oriental de Maulévrier, jardin de l'abbaye de Valloire, jardins du château de Blois.

Il a aménagé dans le Midi le  domaine du Rayol. Le conservatoire du littoral protège depuis 1989 13 hectares de maquis littoral, et 6 hectares de parc.

Gilles Clément réalise plusieurs jardins conçus comme des évocations des paysages et des flores des régions du monde de climat méditerranéen au Domaine du Rayol Canadel sur Mer dans le Var :

Jardin américain sub-tropical, amérique centrale, asiatique, australien, chilien, californien, marin, néo-zélandais, sud-africain.

Il est l’auteur de la création du jardin en mouvement, c’est à dire qu’un paysage n’est pas figé, l’homme peut décider de le faire varier dans le temps , et dans l’espace en accord avec la nature.

Il a crée une grande exposition sur le jardin planétaire en 1999.

Gilles Clément a été inspiré par les architectes comme SMITHSON ( spirale dans le grand lac salé)  avec les labels du "land art" ou de la "landscape architecture" des Etats-Unis.

 "Mais en réalité, je me vois comme un jardinier, avoue-t-il en toute humilité. L'avenir est sur cette justesse du regard, sinon le jardinier ne peut obtenir ce qu'il escompte le plus. Des fleurs, des fruits, des arbustes, des animaux.... Contrairement aux plasticiens, géographes et autres urbanistes qui n'en ont pas la nécessité parce qu'ils tirent des plans, travaillent dans la forme, il oeuvre sur la partie vivante de la nature".
Une nécessité qui va de pair avec la prise de conscience croissante de l'environnement et de ses atouts pour l'évolution de la vie sur Terre. D'où les perspectives de jardins de l'an 2000 auxquels Gilles Clément apporte son concours, tant en Europe même dans les îles, Réunion,  la route cathédrale du Maïdo et le jardin de Soweto, avec l'envie de développer, comme à chacune de ses entreprises, une préoccupation écologique qui passe par le biais de l'esthétique.

"Mais hors de tout radicalisme, précise le jardinier qui appréhende le monde dans sa globalité et se montre donc favorable au métissage des espèces, qu'il appelle plutôt brassage, et qui s'est tissé au fil des âges. D'où cette idée de jardins et de forêts planétaires qu'il cultive en protecteur, considérant du même il bienveillant les herbes folles qui tentent de pousser les pavés hors de la stérilité des cités que les essences les plus rares plantées en parcs prestigieux.

 
Gilles CLEMENT est un homme responsable du vivant qui se trouve sur son territoire et qui devient jardinier pour continuer à bénéficier de ses richesses naturelles, avec, en prime, le droit à l'utopie :

 ‘Un rêve autorisé qui ne peut exister qu'en préservant le monde ‘.  

Il crée le jardin en mouvement dans la Creuse en 1977.

Il a écrit Thomas et le voyageur, Traité succinct de l'art involontaire, Eloge des vagabondes. 

Fresque de l'histoire des jardins et du paysage    

Art architecture peinture paysage

Repères histoire du paysage

  Parc Borely

 

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     delphine © thierry JOUET

                            

        

  

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